Poèmes d’exil
Un recueil de 43 poésies en six chapitres sur 165 pages, qui chante les souffrances et douleurs de l’exil –volontaire ou non- vécu dans tous les cas comme un brutal déracinement. En effet, il entraîne la perte de repères et du cadre de vie jadis familiers, et aussi des espoirs déçus, des rêves d’antan s’éloignant vers un horizon infini, des illusions et amours perdues car ballotées au gré de circonstances que l’exilé peut difficilement contrôler.
Le passé est toujours présent dans l’exil, tandis que le présent est douleur et le futur incertain, alors que l’exil est d’abord motivé par la quête d’une vie et d’un avenir meilleurs : celle de la vie, de la liberté et de la poursuite du bonheur, comme diraient les Américains.
Acheter
Modam
«Modam» c’est en filigrane de la vie de deux générations de femmes avant, pendant et après l’indépendance de leur pays quelque part sur un continent qui pourrait bien être l’Afrique; c’est aussi celle de leur lutte pour l’émancipation par l’éducation et de leur ouverture d’esprit quand elles vont résolument à la rencontre de l’autre, en dépit de l’hostilité permanente entre les camps antagonistes des colonisés et des colonisateurs. Elles font ainsi fi des préjugés de leur groupe, toujours fermé sur lui-même et vivant selon des schèmes du passé, suivant lesquelles une femme n’est valorisée en tant que capital précieux qu’au travers de la dot qui sera perçue à son mariage, par les travaux domestiques auxquels ce mariage la confinera pour toujours, par son œuvre de procréation et non comme une personne à part entière, capable de contribuer au devenir et aux transformations sociales.
«Modam» c’est aussi une histoire de rencontre de deux cultures et de renaissance des deux par ce contact à travers l’élément géniteur essentiel de toute société, la femme.
Acheter
La démocratie à l’assaut des dictatures. Tome IAvant Montesquieu et l’Esprit des Lois : Repenser la gouvernance en pseudo-républiques pré-démocratiques»
« Les peuples du monde entier ont le droit inaliénable d’être gouvernés de manière responsable.». Tel est le principal argument de ce livre, qui est une réflexion générale sur la gouvernance – ou plutôt la mal gouvernance – de certains pays et États du monde, partant du cas emblématique et symbolique fort de nombreux pays africains, notamment du Cameroun.
De ce point de départ, il présente un diagnostic général de la mal gouvernance que subissent les populations de nombreux pays africains, et surtout de la nébuleuse de ceux dits «francophones», ainsi que de quelques autres du continent et d’ailleurs dans le monde.
Acheter
N.B. Les deux derniers tomes de cette série ont déjà été écrits et les dernières versions en cours de révision.
Ils seront soumis pour publication dès la fin de ces révisions.
La démocratie à l’assaut des dictatures. Tome IILa malgouvernance incarnée
Dans le deuxième tome de cet essai, j’analyserai en profondeur quelques cas de mal-gouvernance tels qu’ils se vivent actuellement dans certains pays d’Afrique principalement, bien qu’ayant installé le cadre classique des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire, fonctionnant théoriquement en toute indépendance. Cette ossature toute théorique n’a pas empêché que se déploient dans toute leur horreur les différentes manifestations de la mal-gouvernance, notamment dans un pouvoir dit «Exécutif» tout-puissant et décidant de tout, ne répondant de ses actes devant personne, des politiques publiques inadéquates, la corruption généralisée qui favorise une infime partie de la population et plonge dans la misère la grande majorité, des infrastructures insuffisantes, fictives ou manquantes, des services de santé, de population, d’agriculture et élevage, éducation, adduction d’eau, fourniture d’électricité déficients voire inexistants, etc.
La démocratie à l’assaut des dictatures. Tome IIICameroun : Jalons vers un meilleur avenir
Le troisième et dernier tome de cette série sur la gouvernance appliquera le modèle de la gouvernance redéfinie au-delà de la théorie classique de Montesquieu, ce pays étant désormais un cas d’école relativement à l’omnipotence du pouvoir dit «Exécutif» et à l’effacement des deux autres. Les citoyens y assistent désormais comme de simples spectateurs à la gestion des affaires de la Cité par une clique choisie autour du tenant du prétendu pouvoir «Exécutif», sur des bases ethniques, patrimoniales et arbitraires.
Des voies de sortie de l’impasse ainsi décrite sont proposées dans ce dernier tome.